[S7] Elections RPG

La base du scénar, avant les résumés :

Oyez, Oyez, gens braves et moins braves !
Le mandat arrive à son terme et les menbres du conseil de notre bonne ville s'aprêtent à remettre leur siège en jeu...

Vous l'aurez compris, le prochain scénar aura pour cadre les élèctions du conseil de la ville de Grenzstadt.
Je vais donc vous donner quelques infos avant de faire jouer ce scénar...

Nombre de postes à pourvoir : 9 (le conseil est intégralement réélu).

Qui peut se présenter : les personnes dont la famille possède un domicile en ville depuis au moins 3 générations ; les personnes payant un sens annuel de 200 co.

Qui peut voter : les personnes dont la famille habite en ville depuis deux générations ; les personnes n'ayant aucune mutation ou tare chaotique ; les personnes payant un sens annuel de 20 co.

Elections en 1 tour, les neufs personnes qui ont le plus de voix sont élues.


La liste des candidats :
1. Varl Herz, grand prêtre de Sigmar de Grenzstadt. Certains d'entre vous le connaissent bien. C'est sa première candidature.

2. Bartolf Allenstag*, maître joaillier de son état. Une des personnalités les plus riches de la ville. En gros, la guilde des joaillier, c'est lui tout seul (tous les artisans sont à des ordres). Il demande sans cesse une augmentation du sens qui ouvre le vote et l'éligibilté. Il a déjà été élu 4 fois, c'est sa 5e candidature.

3. Gotfried Hoch*, imprimeur. Par inronie du sort, il a fait fortune lors d'élections, il y a 6 ans quand Bartolf Allenstag lui a demandé d'imprimer des tonnes de tracts pour sa campagne. Il a investit cet argent et est devenu un des imprimeurs les plus riches de la ville. Il a déjà été élu il y a 3 ans, il brigue donc un second mandat.

4. Tomas Haintz. Mercenaire a la retraite. Il vient de se réinstaller dans la ville où il a grandi. Il semble avoir amassé un joli magot en campagne. Sa canditaure est une surprise, c'est aussi la première (il n'est installé que depuis quelques mois).

5. Hagen Netzhoch. Il est d'origine noble. Son père est un baron reiklandais. Officiellement, Hagen est un chevalier sans terre. Par paresse, il s'est installé dans une demeure que son trisaïeul avait acquis à Grenzsdadt. C'est sa première (et surprenante) candidature.

6. Altmar Neumann*. Sa famille est une des plus anciennes de la ville. Ils ont accru leur richesse en investissant dans l'immobilier. Aujourd'hui, Altar et sa famille possède plusieurs hotels particuliers parmi les plus luxueux de la ville. C'est sa 4e candidature et il a déjà été élu deux fois (1ere et 3e candidature). Sa soeur est la grande prêtresse de Shallya de la ville.

7. Gerolf Schiller*, collecteur de taxes. A l'origine, Schiller est un des fonctionnaires travaillant pour les conseillers et dont l'ingrat travail était de collecter les droits de passage. Son abnégation à traquer les fraudeurs et à récupérer les impôts les plus dangereux (celui sur les fenetres notamment) lui ont assuré une promotion rapide. Il a déjà été élu une fois et se représente. Une seule question : mais qui a pu voter pour lui ... ?

8. Luther Oberholtzer*, bourgeois. Il a bâti sa fortune dans le négoce. Il importe surtout des oeuvres et du tissu en provenance de tilée et d'Estalie et les exporte dans nord de l'Empire. Il a déjà été élu deux fois et se représente à nouveau.

9. Trubert Teuber, marchand de son état. Un des plus féroces concurrents de Luther Oberholtzer. Il commerce essentiellement avec les principautés frontalières, et les nombreux hommes qu'il emploie aident à sa protection... Il est le premier membre de sa famille à "réussir" et c'est sa deuxième candidature (il a échoué la fois précédente).

10. Fabian Scherer*, paysan... Il fait partie de cette nouvelle génération de propriétaires terriens qui a racheté d'autres exploitations et qu'il loue. Il possède notamment quelques vignobles dans le nord de la baronnie. Il a déjà élu 2 fois, pour trois candidatures (il a échoué à la première).

11. Suppsagace Dusuif. Un hobbit. Sa famille est composée de cuisinier, sauf lui. Son besoin d'aventure (sic) l'amène à parcourir l'averland à la recherche d'ingédients pour sa grande famille... On reste dans la bouffe quand même. C'est sa première candidature.

12. Eber Lutzen*, artisan. C'est un menuisier (même s'il est affilié à la guilde des charpentiers). Il s'est plutot orienté vers une production de luxe faite souvent de bois précieux d'origine lointaine. Il a déjà élu, c'est sa seconde élection.

13. Erasmus Widmer*. Bourgeois spécialisé dans le bovin. Il a progressivement remonté la filière pour contrôler de la vente à l'abattage en passant par l'élevage. Il tire une grande fierté de ses cheptels, "plus beaux que ceux des nobliaux". Il a déjà été 4 fois et se représente pour un 5e mandat.

14. Kristena Kummel, bourgeoise... A la mort de son mari, elle a continué à tenir seule l'auberge de son mari. Après des années d'abnégation elle a réussi à en faire un des meilleurs établissements de la ville. C'est sa première (et contreversée candidature).

15. Wolfhilde Weber, érudit. Un humaniste touche à tout. Il s'est spécialisé dans les anciens langages et dans les "races anciennes". Il a de nombreux contacts à Altdorf. C'est sa troisième candidature, il n'a jamais été élu.

16. Hanz Reise, architecte. Il a la charge de la construction de la cathédrale de Sigmar. Vous le connaissez aussi. C'est sa première candidature.

17. Sieger Fuchs, avoué. Une personne influente et de ressource. Il s'occupe des affaires de plusieurs bourgeois de la ville. C'est sa première candidature et elle ne surprend personne, tant l'homme est ambitieux.

18. Gawin Netzhoch*, artisan. Il est le dirigeant de la guilde des maçons et des architectes. Il est connu pour détester les nains par dessus tout. Il a déjà été élu 3 fois et se représente à nouveau.

19. Sieger Gaertner, intendant. Il gère plusieurs entrepôts d'une riche famille marchande de Nuln (les Fher). Son rôle est de veiller à ce qu'il n'arrive rien aux marchandises qui voyagent dans le sud de l'Empire.

20. Volkin Guth. Difficile de lui attribuer une profession. Officiellement, il se proclame duelliste... Plus prosaiquement, il agit comme un garde du corps de luxe. Néanmoins, son expérience et sa chance on fait de lui un homme aisé. C'est sa première candidature.

* conseiller sortant


Les candidats vus par Pascal :

1/ Varl Herz :
J'ai un dilemne théologique : je ne suis absolument pas d'accord avec l'interprétation de Varl Herz sur le rôle de "Roi des dieux" de Sigmar (voir les plans de la cathédrale et mon résumé pour ceux qui ne suivent pas : http://galarnn.free.fr/forum/viewtopic.php?t=300). La tentation du monothéisme est certes compréhensible et en partie légitime vu l'importance du culte de Sigmar dans l'Empire, dont il est l'unificateur. Le problème est que cela est non seulement faux au niveau théologique (Sigmar est le premier parmi les dieux d'accord, mais il n'est pas au dessus d'eux), mais surtout cela peut causer la destruction de la société impériale, dont la liberté de culte est un fondement. En conséquence, étant tout à fait opposé au développement de cette hérésie, je suis contre l'accession de Varl Herz, séditieux en puissance, au poste de conseiller.

2/ Bartolf Allenstag :
Contre aussi, l'augmentation du sens conduirait à une plutocratie très conservatrice basée sur l'argent. Etant donné que les nains qui nous soutiennent et ceux qui ont besoin de la protection du baron sont relativement pauvres, c'est notre ennemi politique n°1.

3/ Gotfried Hoch :
Peut être un allié du précédent, donc méfiance. Par contre, étant imprimeur, c'est LA personne à rallier à notre camp en vue de la campagne électorale. Son soutien serait inestimable, et une perte cuisante pour le camp adverse. A sonder.

4/ Tomas Haintz :
Deux hypothèses. S'il s'agit d'un ancien mercenaire honnête (j'entend par là qui respectait ses contrats), il devrait soutenir l'ordre, c'est à dire le camp du baron. C'est un nouveau candidat, donc il sera plus facile de s'entendre avec lui. Par contre, s'il s'agit d'un pourri ayant filé avec la caisse de son régiment (ça c'est déjà vu), il soutiendra Bartolf Allenstag, qui défend les intérêts des plus riches. Enquêter sur son passé de mercenaire serait donc une bonne chose.

5/ Hagen Netzhoch :
Difficile à dire. Noble et paresseux (euphémisme). Soutiendra-t-il un nouveau noble (le baron), donc un parvenu, ou des bourgeois qui lui assurerait une existence agréable (la corruption aidant à beurrer les tartines) ? Plutôt contre, j'ai un gros doute sur sa fiabilité à long terme (notre camp étant le plus pauvre).

6/ Altmar Neumann :
Très ancienne famille, grande richesses immobilière, soeur grande prêtresse de Shallya. Trois atouts qui font de lui un allié à convaincre, ou en tout cas à ne pas s'aliéner. A sonder. N'oublions pas le service rendu au culte de sa soeur (1er scénario).

7/ Gerolf Schiller :
Collecteur de taxes : en étant objectif (mais si) forcément un type bien. Enfin, bien pour notre camp (le baron a besoin de bonnes rentrées fiscales). Cependant, sa probable impopularité peut représenter un handicap. 100% pour son élection quand même. Sa connaissance du fonctionnement de la cité serait appréciable.

8/ Luther Oberholtzer :
Négociant et importateur, sûrement partisan d'une augmentation des échanges avec la Tilée, but poursuivi aussi par le baron. Il faut donc le convaincre de nous soutenir, ses contacts nous seraient trés utiles. A sonder.

9/ Trubert Teuber :
Marchand spécialisé dans les échanges avec les principautés frontalières et n'ayant jamais été élu. Féroce concurrent de Luther Oberholtzer. De nombreux hommes qu'il emploie aident à sa protection : mafieux ? Plan de rechange si Luther ne nous soutient pas. Il faudra jouer avec leur rivalité. Un "échange de bons procédés" peut être envisagé avec l'un ou l'autre.

10/ Fabian Scherer :
Nouveau propriétaire terrien, possède de nombreuses explotations agricoles dans les environs. Il est possible de jouer la campagne (et le faubourg) contre la cité, donc son soutien est à étudier.

11/ Suppsagace Dusuif :
Un hobbit. La candidature gag habituelle. Plutôt contre. Il faudra se lever tôt pour me convaincre qu'il est de notre côté. Mais "jamais" ne fait pas partie du vocabulaire politique.

12/ Eber Lutzen :
Artisan menuisier orienté vers une production de luxe. Il a donc besoin de matériaux d'origine lointaine. A sonder : proche des riches (qui achètent ce qu'il produit) ou de la masse des artisans, embryon de classe moyenne ?

13/ Erasmus Widmer :
Marchand spécialisé dans le boeuf de l'élevage à la boucherie. A priori, peu de raison d'être avec nous. Mais à sonder dans l'optique d'une alliance campagne - faubourg contre cité

14/ Kristena Kummel :
Aubergiste renommée. Attention, c'est une femme dont la candidature doit hérisser les plus conservateurs. Personnellement je suis pour appuyer sa candidature justemant à cause de ça (et puis on des des PJs, elle a une auberge : intérêts communs évidents Rolling Eyes ).

15/ Wolfhilde Weber :
Erudit et humaniste jamais élu. Sûrement quelqu'un de cohérent et de logique, donc accessible à nos arguments. Plutôt pour, mais comment le faire élire ?

16/ Hanz Reise :
Architecte de la construction de la cathédrale de Sigmar. Première candidature. Nous l'avons beaucoup aidé dans le 4e scénario, il devrait être de notre côté.

17/ Sieger Fuchs :
Avoué ambitieux s'occupant des affaires de nombreux bourgeois. A sonder : à priori favorable à l'autre camp, mais un juriste aiderait beaucoup à définir un statut légal au faubourg ou carrément une nouvelle charte.

18/ Gawin Netzhoch :
Dirigeant de la guilde des maçons et des architectes, raciste au dernier degré. Contre absolument, un de mes ennemis personnels (j'irai danser sur sa tombe).

19/ Sieger Gaertner :
Intendant d'une riche famille marchande de Nuln (les Fher). A sonder, si le baron paraît plus à même de sécuriser le commerce, il doit être possible de l'amener dans notre camp.

20/ Volkin Guth :
Première candidature de cet ex-aventurier (ancien PJ ? Smile ). A sonder.

Et enfin, le résumé (Fred A)

Les élections du conseil de Grenzstadt me permirent de sortir un peu de la routine... Werner Kuhn, mon mentor, m'accablait de corvées et d'exercices pendant que je l'exhortais à m'envoyer à Altdorf. Bref, nous tournions en rond ! La politique nous permit d'arriver à un compromis : c'était à la fois une expérience enrichissante pour un apprenti magicien qui devrait surmonter un jour les intrigues dont regorge chaque Collège de Magie... et un dérivatif bienvenu !

Curieusement, ces élections avaient attiré tout ce que le château comportait de, comment dire... sudistes civilisés, pardonnez-moi ce pléonasme. Je fus en effet accompagné par le maître d'armes estalien et un mercenaire fraîchement arrivé de Tilée - celui-là même qui avait fait partie de la petite expédition dans le fief voisin, il y a quelques temps...

Evidemment, poussé par le sang tiélen hérité de mon grand-père, j'évoquais avec le mercenaire la beauté de Luccini et conspuais la pauvreté de l'Estalie... Enfin, la compagnie d'un estalien était tout de même préférable à celle de ces arrogants impériaux originaires du nord ou de l'ouest. Ces barbares se prenaient pour le centre du monde !

Les notables de Grenzstadt en étaient de bons exemples. La plupart d'entre eux détestaient le baron presque autant que les nains. En fait, il n'y avait guère que ceux-ci et le clergé de Sigmar qui nous soutenaient. Or, les nains vivaient dans les faubourgs et n'avaient pas le droit de vote, même s'ils payaient un impôt suffisant - le cens.

Nous décidâmes donc de vérifier quelques détails auprès du clergé de Véréna, chargé de superviser les élections. Pour voter, il fallait habiter dans l'enceinte de la cité. Soit. Mais comment était définie, décrite celle-ci ? En fouillant dans de vieux ouvrages, le maître d'armes et moi-même découvrîmes que Grenzstadt avait été fondé sur les ruines d'une ville naine. Techniquement, l'enceinte originelle de la ville... était l'ancienne muraille naine, et non les remparts édifiés plus tard par les hommes. Les fondations de cette muraille pouvaient être retrouvées.

La cité de Grenzstadt occupait le sommet d'une petite colline, les faubourgs s'étendant sur les flancs de celle-ci. La ville naine recouvrait à l'origine toute la colline ! Donc, les faubourgs se trouvaient dans la première enceinte de la cité... Des relevés effectués par le maître d'armes nous fournirent la preuve. Décidément, les universités estaliennes ont de beaux restes, je dois bien l'avouer : ces hidalgos sont d'une science étonnante !

Je réussis à persuader les prêtres de Véréna, après une brillante plaidorie en language classique, de la validité de notre découverte. Le corps électoral s'enrichit ainsi soudainement d'une quarantaine de nains... et leur doyen put se porter candidat ! Nous n'eûmes guère de difficulté à suggérer au clergé de Sigmar de soutenir cette candidature.

Nous n'eûmes guère le temps de savourer cette petite victoire. Peu avant les élections, Gothard Von Menshstadt vint porter plainte auprès du conseil contre l'enlèvement de sa soeur par le fils aîné du baron Konrad. La guerre menaçait... et cette plainte auprès de simples bourgeois était un véritable camouflet pour notre seigneur ! Celui-ci refusa bien sûr d'y répondre. Les rumeurs d'une attaque imminente commencèrent à courir - elles n'étaient guère à l'avantage de notre camp.

Ne sachant comment réagir opportunément... nous décidâmes de convertir le plus grand nombre de candidats à la cause du baron. Cela nous semblait la meilleure chose à faire, pour s'assurer de la solidarité de la cité avec Konrad.

Par exemple, nous rappelâmes à Fabian Scherer, riche paysan et conseiller sortant, que ses terres ne se trouvaient pas en ville mais dans la province directement administré par le baron... et que celui-ci pouvait à tout moment transformer ses fermes en casernes, fortifications, champs de Mars, etc. Afin de protéger le fief, bien entendu ! Bref, était-il sage d'irriter Konrad en s'opposant systématiquement à lui ?

De même, nous nous sommes rapprochés de Trubert Teuber, riche négociant dont les caravanes étaient harcelés par des brigands... probablement affrêtés par son concurrent, Luther Oberholtzer. Bien que Teuber fut réputé proche de la pègre, nous n'hésitâmes pas à l'aider de multiples façons : escortes de ses caravanes par les patrouilles du baron, tracasseries douanières pour les convois de son rival...

Nous contactâmes ainsi de nombreux candidats. Notre mercenaire fit notamment des merveilles auprès de ceux fréquentant les... milieux les plus interlopes de la ville.

Les manigances de Gerolf Schiller, le collecteur de taxes, nous laissèrent cependant pantois. Il avait intrigué pour se débarasser d'un concurrent, Hagen Netzhoch, un chevalier qui dilapidait sa pension. Le clergé de Véréna voulait écarter la candidature de celui-ci à cause de ses moeurs dissolues - en fait, Schiller avait secrètement encouragé les courtisanes préférées de Netzhoch à des pratiques... disons, exotiques. Netzhoch voulut défendre son honneur mais le jugement de Sigmar tourna à son désavantage : le duelliste engagé par Schiller le saigna peu proprement !

Malgré tout, Schiller n'était pas particulièrement hostile au baron... Au contraire, il espérait faire payer davantage d'impôts aux bourgeois s'il était élu. Sa vocation était véritablement effrayante ! Devant l'absence de preuves, nous n'intervîmes pas...

Finalement, le résultat des élections nous fut plutôt favorable. Furent en effet élus :
- Varl Herz, le prêtre de Sigmar, un ami du benjamin du baron (le séminariste dépressif);
- Bartofl Allenstag, un joaillier moderne et libéral qui à notre grande surprise se révéla être nettement de notre côté (il connaissait les ambitions de Mathias Von Grunwald, notre ennemi, et préférait largement la tolérance de Konrad);
- Gotfried Hoch, influent imprimeur politiquement tout à fait neutre ;
- Altmar Neumann, richissime bourgeois et définitivement hostile au baron ;
- Gerolf Schiller, le collecteur de taxes, que nous qualifierons de neutre faute de mieux (le terme "fanatique" lui conviendrait mieux);
- Erasmus Widmer, éleveur très conservateur, allié de Neumann et tout aussi hostile au baron ;
- Hanz Reise, architecte de la cathédrale de Sigmar, acquis à notre cause ;
- Gawib Netzhoch, architecte et maître de la guilde des maçons, un raciste malheureusement très populaire qui bien sûr nous détestait ;
- Baralun, le doyen de nains, qui pour le coup nous considérait (presque) comme des amis du peuple nain !

Bref... 4 favorables, 2 neutres, 3 hostiles ! C'était mieux que l'ancien conseil, mais les choix de Hoch et Schiller allaient être déterminants...