[S10] Le Péril vert

Fred J (première partie)

Sigmar est grand, loué soit Sigmar. Comment pourrait il en être autrement après le miracle qui me fit rester en vie lors de mon récent affrontement avec Ulrich?
Quoi qu'il en soit, mon père semblait décidé à me donner plus de responsabilités et m'envoyait donc, moi ainsi que 4 autres compagnons ( l'émissaire elfe, le chasseur nain, le diestro estalien et le mercenaire tiléen), participer au conseil de guerre devant avoir lieu à Mighdal Vengalbarak, cité marchande des nains des montagnes, et organisé par le roi des nains, Brakkar...
Kargor l'orque noir gagnait en puissance et il fallait le stopper avant qu'il ne contrôle une waaaaagh completement formée.
Nous nous rendions donc sur place pour représenter nos intérets et faire pencher la balance au cas ou les nains se voulaient trop défensifs.

Nous partimes donc...la route était longue...et cahoteuse, mais surtout pleine de ravines (élément important pour la suite).
Il ne nous fallut pas longtemps pour tomber quasi nez à nez avec une troupe d'éclaireurs orques en train de massacrer des pauvres (au sens figuré) nains; n'écoutant que notre courage, nous chargeames...ou plutot le diestro et moi chargeames, les autres restant en retrait pour accabler les orques de leurs projectiles.Le combat fut âpre et le diestro et moi même joutions pour savoir lequel était le meilleur...le résultat fut à mon avantage, qui en eu douté, avec 3 morts à mon actif.
Neanmoins, les nains étaient presque tous morts ou en piteux état, ne restait finalement avec nous que le nain Bors, qui se proposait de nous guider pour poursuivre les orques qui s'étaient échappés durant le combat, en emportant avec eux un otage, qui se trouvait être le fils du roi des nains!!!! C'était vraiment jouer de malchance, ou bien n'était ce pas un hasard?hum,hum...
Nous tentâmes des les poursuivre, mais ces racailles à peau verte allaient bon train, malgrè leur propre fatigue et leur fardeau.
Apres deux plongeons dans les ravines (les fameuses) de votre serviteur, j'étais grievement blessé et le combat à venir s'annonçait sous les plus mauvaises auspices.
J'envoyais les "éclaireurs" en amont pour suivre les orques , et ceux ci se firent prendre en embuscade!!! mais quel était donc ce sortilège qui donnait de l'intellignece et de la présence d'esprit aux orques (et pourquoi n'en donnait il pas au diestro???)??Nous concluames, en voyant leur camp non loin de Mighdal, que les orques avaient prévu d'attaquer pendant le conseil...mais encore une fois, il devait y avoir un traitre pour que ces peaux vertes soient au courant!!!!
Nous attaquâmes l'escouade des éclaireurs orques avant qu'elle n'atteigne le camp, mission ô combien suicidaire, mais nécessaire...
Une fois encore le combat fut des plus compliqué, mais l'habileté à l'arbalète du chasseur nain fit des merveilles et nous ôta plusieurs épines du pied, bien que le fils du roi failli se faire égorger, et ne fut sauvé que par un éclair de lucidité de l'elfe...qui détourna l'attention du garde orque, ce qui permit au chasseur nain de l'achever.Il convient de dire que le diestro s'en sortit plus que bien, cette fois ci...

Au loin, des tambours orques sonnaient la mise en marche de l'armée.Il nous fallait faire vite.

2e partie.

Vince :

Alors que suite que nous étions en train de descendre sur Mighdal Vengalbarak, par un chemin détourné, Konrad Junior, le Chevalier, faiblit soudain pris de vertige et d'une forte fièvre. Il semblerait que ses blessures lui ai causé plus de tort que ce que nous avions escompté. N'écoutant que mon dévouement a la famille Reiss, j'entrepris de porter sur le dos jusqu'à la cité naine. La bas des "infirmières" naines prirent soins de lui.

Arrivé nous sommes donc rendu auprès du roi Barrak, accompagné de son fils Varek, a qui nous avions sauvé la vie. Après avoir brièvement expliqué la situation extérieure, il nous confia aux bons soins d'un... Tueur local, qu'il nous présentât comme "guide". Sur ces entrefaites, nous avons donc fait le tour du propriétaire et surtout des forces en présences. Le constat fut maigre, 500 nains bien entraîné, composant la suite et la garde rapproché du roi nain, une centaine de mercenaire nain venu avec leur capitaine en réponse a l'invitation du roi nain, 20 Elfes des bois avec des arcs, autant dire que notre situation empirait, et plus de 200 rangers nains patrouillant au aux alentours de la ville, rajouté a tout cas une population civile humaine et naine bien trop importante. Finalement notre plus gros souci était que cette cité était prévu pour empêcher les orcs de rentré mais en aucun cas pour être activement défendu. Placé au centre d'un cratère et protéger par une lourde porte, aucune meurtrière, ni aucun rempart ne permettait de tirer, ou de ralentir, d'une quelconque façon les assaillants.

L'autre souci était que nous avions vu des chariots de poudre aux mains des orcs et qu'avec ils pourraient aisément détruire la porte, seule défense de la cité. Au vu des ces faits, on a donc décidé de proposer au Roi, d'envoyé une expédition réduite se débarrasser de la poudre ennemi. Pendant ce temps les nains et les humains quitteraient la ville par des route différente, afin qu'aucune progression soit gêné, et que tous les réfugies ne se trouve pas au même endroit. Le Chevalier et le fils du roi se joindrait au convoi majoritairement humain. Après de longue tergiversation, le Roi opta pour notre plan, mais décidât qu'il resterait avec ces 500 guerriers d'élite pour mener une guérilla active dans les tunnels entourant la ville, tout en nous assurant que quand la situation deviendrait trop critique il se replierait avec ses troupes. On se désigna donc pour l'opération extérieure, visant a ralentir les orcs, puisque nous avions l'habitude de travailler de concert en groupe restreint. Bien sur on nous joignit des "renforts", un contingent des 20 Elfes, même en situation désespéré ça fait quelque chose de devoir s'allier a des Elfes. Le Roi ravis de notre participations et reconnaissant de notre aide offrit au Mercenaire et a moi-même de magnifiques arquebuses naines, finement ciselées et de très bonne qualité.

Fier de notre magnifique cadeau, nous primes un chemin de ronde camouflé, pour arriver en surplomb de la porte. Étrangement, les peaux vertes avaient activé le mouvement et finissait de couvrir la porte de baril de poudre. Cela nous étonna car nous ne pensions pas l'assaut si précipité, comme si ils savaient ce que nous préparions ! D'un commun accord on décida donc de faire sauter la poudre de suite, emportant avec la porte les orcs massés la, n'ayant pas complètement fini les préparatifs. Quelques Elfes restèrent en retrait pour préparer leurs flèches enflammées. Le reste de notre groupe fit front avec une dizaine d'orcs noirs venus s'occuper de nous. Non sans mal, le mercenaire et moi-même, avons retenions l'assaut des orcs qui étaient en face de nous alors que des Elfes tombaient tout autour de nous. L'émissaire d'ailleurs était en fâcheuse posture, bien que pourvu de moins d'adversaire que nous. Pendant ce temps le Tueur qui nous avait accompagné débitai un à un les orcs noirs s'opposant a lui, dans de violant moulinet de hache a deux mains, non sans prendre au passage quelques coups de kikoup a deux mains. Soudain une explosion et un nuage de poussière nous avertie que notre mission était mené a bien. On se repliât donc rapidement en constatant qu'une dizaine d'elfe était mort bravement lors de l'assaut. Les elfes survivant furent envoyé retrouvé les réfugiés pour leur clarifier la situation pendant que nous nous suivions un contingent d'une centaine d'éclaireurs orcs parties inspecter les alentours de la forteresse.

Les orcs se divisèrent en plusieurs groupes d'une dizaine d'individu, dont un pris une direction complètement opposée a la cité. Intrigué je partis en éclaireur, pour savoir de quoi il en retournait. Arrivé a un piton rocheux, un des orcs entrepris de l'escalader et une fois arrivée de l'autre côté refis son apparition l'air affolé et commença a dévaler la pente. J'en profitât pour lui ficher un carreau dans la jambe, ce qui eu pour effet de lui faire finir sa course la tète la première, entraînant avec lui des gravats qui recouvrirent sa dépouille quelques mètres plus bas Wink. Soudain une main géante, et c'était le cas de le dire, fit son apparition, malheureusement suivit du géant a qui elle appartenait. Je couru donc avertir mes camarades de ce qui nous attendait, quand je vis la lueur dans les yeux du nain. Les orcs s'étant dispersé on se débarrassât de celui qui avait entreprit d'attirer le monstre vers la cité. Puis on commença a "ouvrir le feu" sur le géant, pendant que le Tueur s'apprêtait a réceptionner sa charge. Malheureusement la face hideuse de l'aberration, fit tourner les talons du nain. Le géant entrepris donc de s'occupé de l'Elfe, mais celui si pris ses jambes a son coup et ne retrouvas du courage qu'une fois a plusieurs dizaines de mètre du monstre. Décidé a en découdre le géant se dirigea donc vers le Mercenaire, occupé avec moi a le harceler a l'aide de nos arbalètes. Le Merco tenu le choc et commença a engager le géant au corps a corps rejoins dans la foulée par le Tueur, qui avait repris du poil de la bête. Après des rudes échanges et quelques coups de tronc d'arbre très dangereux, le géant terrassé chancela et s'écrasa de tout son long sur le Tueur. Nous le pensions mort quand une petite voix venue de sous la carcasse nous affirma le contraire et nous pria de le sortir de là !

Amoché mais vivant, nous prîmes la direction des mines dans lesquels devait se réfugier le contingent majoritairemenent humain. La bas nous les avons retrouvé abîmé et surtout encore en compagnie du fil du baron et de celui du roi nain. Des rangers nains nous apprirent, que bien que les combats ai fait rage dans la cité, le Roi avait put s'en tirer avec quelques blessures.

Nous voilà donc rentré a Grenzstadt, avec de nombreux réfugiés nains et humain ainsi que les restes des cent mercenaire et leur capitaine.


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Nicolas :

Après notre petite escapade dans les montagnes, nous voici parvenu à la fameuse cité de Varg...Karvek...enfin le bled où que les Nains y crèchent quoi!
Supèrbe endroit! une cité construite au centre du cratère. on y accède normalement par une porte immense taillée dans un affaissement d'une partie de la cheminée.
Le problème, c'est que 5000 ou 6000 Orcs de diverses espèces sont là et attendent. Nous avions dèja aperçu le convoir orc de poudre noire...inutile de préciser ce que les Orcs attendent.
Arrivés au coeur de la ville, le fils du boss local nous présente à son père qui nous remercie, nous soigne et nous loge sous "protection", des fois que les Orcs se téléporteraient ici. Finalement on nous assigne un Tueur en qualité de guide, ce qui nous permet de faire la visite de bled. D'ailleurs, notre mission diplomatique tombe à l'eau puisque le fils de mon patron est lui-même tombé, mais malade.
Nous constatons avec effroi que la cité ne compte ni chemin de ronde, ni meurtrières, de sorte que les Orcs peuvent taper le carton devant la porte en toute sécurité. Par ailleurs, les effectifs combattants sont modestes et disparates: une poignée d'archers elfes, des mercenaires démoralisés, des civils incompétents et la garde du roi des Nains.
Après moultes tergiversations et puisqu'on est là, nous proposons au roi local un plan qu'il accepte en y mettant une variante...nous sortirons avec les Elfes pour détruire la poudre noire dont dispose les Orcs. Les civils accompagnés des mercenaires, des rangers et du fils du roi s'enfuiront en passant par les tunnels pour gagner une mine située à plusieurs jours de marche de la ville. La garde du Roi des Nains va miner la ville et attirer les Orcs dans les tunnels pour les combattre et les ralentir.

Donc, nous sortons...pour constater queles Orcs s'apprètent à faire sauter la charge de poudre devant la porte...Cheise! c'est trop tôt. C'est comme s'ils savaient que nous allions nous enfuir. Nous sommes trahis! Les Orcs sont encore nombreux devant la porte et ne se sont pas encore mis à l'abri. Quitte à ce que la porte explose, autant que le choc entraine la mort de dizaines d'orcs.
Les Elfes se rapprochent pour envoyer sur la poudre des flèches enflammées et provoquer ainsi l'explosion prématurée de la mine.
Nous nous chargeons de couvrir cette action au péril de nos vies. Nos espoir (en tout cas ceux du tueur) sont récompensés puisque une dizaine d'Orcs noirs se précipite vers nous...je n'en demandais pas tant. le combat tourne à notre désavantage jusqu'à ce que le tueur, très inspiré, décapsule les Orcs à coups de hache à deux mains comme l'on fait tomber des dominos.
La charge explose et avec elle un panache de poussière et de graves s'élève...pour couvrir notre repli tactique.
En sureté, nous constatons qu'un bataillon d'une centaine d'éclaireurs orcs fait le tour de la cité par les montagnes. Nous renvoyons les Elfes à de plus pacifiques occupations et nous mettons à la poursuite d'une centaine d'Orcs ...à quatre.
Rapidement, la troupe se disperse et semble chercher quelque chose. Nous craignons pour nos réfugiés. Apparemmment, les Orcs ne nous cherchent pas...ils recrutent des Géants.
L'éclaireur nain envoyé en avant garde confirme cette information et nous nous retrouvons face à une de ces monstruosités dont nous nous défaisons difficilement.
A la suite de cet exploit, nous rejoignons la cohorte de réfugiés et récupérons notre boss ainsi que des volontaires Nains et Humains.
Nous rejoignons Grenzstadt pour apprendre que la Wagh s'apprète à franchir la Col du Feu Noir...


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Gildas :

Me voila donc mis en relation avec un nain impérial, deux humain dont un malade et un elfe. La citée est assiégée par des orques!!!!
Alors la situation nous oblige à aller combattre. Le roi nain fier ne veut pas fuir et il a raison... Par contre, au cas ou il viendrait à mourir l'arme à la main, il laisse son fils partir avec les civils.
Bon, du coup, on se retrouve à aller combattre, l y a l'autre nain, un humain et de la chair à patée elfe. Les elfes s'occupent de la poudre pendant que l'humain et l'autre nain tiennent devant des orques noirs. J'en pourfend quelques uns, la mort n'est toujours pas au rendez vous...

Plustard alros que certains orques noirs tentent d'attirer un géant vers des civils en fuite, je gueule pour attirer le monstre, l'elfe et l'autre nain le fleche et l'entame. L'humain l'engage au corps à corps alors que je fuyait en proie à une peur panique... Me ressaisissant, je fonce dans le tas, d'un coup assez violent j'achève le géant qui me tombe dessus...

Mais le destin d'un tueur n'est pas de mourir écrasé par sa proie, mais au combat contre un ennemi plus fort... Bordel... quand est ce que la mort viendra pour moi... j'aimerai tant voir les grandes salles du hall du dieu nain... et boire de la bière pour l'éternité...