- Dyphos a écrit:
- Pour les races après mainte relectures les Aes Sidhes et Sidhes d'ombre sont peut être trop fort en terme de capa et de carac. Maintenant j'appréhende mal le fait que leur sagesse de base soit a 4. Ca compense sûrement leurs grands nombre de capa mais j'ai un doute pour les caracs. 3 +1 sur 4 caracs me semble énorme, a tester comme tu dis.
Je me suis énormément amusé à les décrire, sans doute un peu trop ! Il est difficile de raconter l'histoire des elfes sans donner des données techniques pour les jouer. Mais tels quels, ils sont trop forts à bas niveau, et deviennent fous très vite en réelle situation de stress - surtout s'il n'y a pas de prêtre avec une pelletée de restauration.
C'était un peu le but : créer des personnages au-dessus du lot, aussi supérieurs que Légolas dans le film... mais avec une jouabilité limitée dans le temps. Est-ce-que ça vaut la peine d'autant se prendre la tête ? Mais comment simplifier ?
- Dyphos a écrit:
- Je suis curieux de voir ce que tu vas faire du prêtre, pour le moment je suis assez surpris. Disons que le peux qu'on en vois me laisse dubitatif. Mais c'est prématuré .
C'est une version de travail, qui n'est pas ma première version, mais qui ne sera pas sans doute la dernière.
J'ai gardé le Prêtre pour la fin pour une très bonne raison : c'est la classe qui demande le plus de boulot. Le magot, une fois réglé le problème des sorts qu'il doit mémoriser ou pas, ça roule. Mais je veux que le prêtre soit vraiment lié à des dieux ou des congrégations, et ne soit plus cet espèce de champion divin itinérant ne dépendant d'aucune hiérarchie et vaguement affilié à une lointaine divinité...
Donc, les domaines doivent avoir beaucoup plus d'importance. Ils vont déterminer les sorts que le personnage peut lancer sans préparation - comme les "sorts maîtrisés" de ma version du magicien. Pour remplacer l'incantation spontanée des sorts de Soins ou de Blessures, je créé deux domaines : Soins des plaies et Blessures.
Plus dur : comment un prêtre peut-il lancer des sorts n'appartenant à aucun de ses domaines ? Genre
ralentissement du poison pour un prêtre de la guerre ? Une simple prière de quelques minutes, soit un coût en temps seulement, analogue à l'incantation du magicien depuis son grimoire ? Hmm, si on attend trop, beaucoup de sorts de prêtres ne servent plus à rien. Et c'est pas très fun !.
J'essaye donc de bricoler un système pas trop complexe, avec une double grille temps / sacrifice.
Une cérémonie longue (lorgnant vers les règles de D&D4 ?) ou la promesse d'un énorme sacrifice à la Praetoria Prima (j'offre un vaisseau de guerre à Velméar pour une
Annulation d'enchantement tout de suite, là... plus qu'à trouver 25000 po) permettant d'arriver au même résultat : amadouer le dieu pour qu'il donne le sort.
Le truc, c'est que tout personnage a un score de Karma (les points de magie du Prêtre) égal à son Charisme. Et donc, la possibilité de demander un prodige à un dieu - en utilisant les mêmes règles que le prêtre qui veut lancer un sort "hors domaine".
Bien sûr, le prêtre, expert en cérémonies, devrait avoir une ristourne.
Voilà où j'en étais de ma réflexion sur le cureton !
- Dyphos a écrit:
- Pour l'instant je suis fan. Les difficultés modulable de 3 point sont sûrement plus équilibrée que de 5 en 5 !
Elles sont bien de 5 en 5. Ce sont les conditions favorable sou défavorables qui sont de +3 ou -3.