ancienne Association Salonaise des Jeux de Simulation
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 Printemps 1222 - Sévices, Vice, Vis ! et Versa...

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Makkari
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Makkari


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MessageSujet: Printemps 1222 - Sévices, Vice, Vis ! et Versa...   Printemps 1222 - Sévices, Vice, Vis ! et Versa... Icon_minitimeMar 18 Aoû - 23:59

Cher journal,

J'avais promis à mes collègues que le Chevalier Fée se ferait plus discret, et je n'ai qu'une parole. Je m'efforce de me tenir tranquille, mais c'est maintenant le destin qui vient sonner à ma porte. Je ne peux pas lutter. Que dis-je, je dois embrasser cette identité ! Le Chevalier Fée est tellement renommé que je n'ai plus besoin d'enlever des enfants pour les sauver. C'est maintenant les bambins eux-mêmes qui viennent me supplier de les secourir.

Ainsi, le jeune frère de Bertrand (ou Bernard, Barnabé peut-être ?) a fait plus de quarante kilomètres à pieds pour venir quémander mon aide. Il pensait sûrement que son frère allait l'aider à résoudre les problèmes de sa famille. Mais il n'était que le jouet du destin. En rejoignant notre alliance, il appelait en fait le Chevalier Fée à la rescousse ! Le pauvre enfant était inquiet des pérégrinations de son père, le forestier du village, qui disparaissait la nuit après avoir frappé son épouse. Il avait beaucoup changé depuis quelque temps. Suffisamment pour pousser ce courageux petit bout d'homme à faire un long périple jusqu'à notre alliance.

Bien sûr, mes collègues sont totalement sourds aux trompettes de ma renommée. Les convaincre de quitter leur petit confort est une lutte de tous les instants, surtout pour une banale querelle domestique. Heureusement, le destin, habile, n'a que faire de leurs piètres excuses. Une vague histoire de tas d'os mêlés à la terre inquiéta suffisamment les autres mages pour qu'une mission de reconnaissance soit envoyée au village. Amaël, Gregorius et moi partîmes en avant garde, précédant de quelques heures Franscesco et Léandre (ou plutôt Misandre, si j'en crois Amaël). Nous accompagnions Bernard, qui devait ramener son frère à ses parents. Cela ne l'enchantait guère, s'il s'entendait bien avec son jeune demi-frère, il était fort fâché avec son père, le forestier du village. Il est vrai que foutre le camp pour embrasser une carrière de brigand peut décontenancer certains parents. Mais, parfois, la vocation s'impose à nous, nul n'y peut rien. Il n'avait que peu de liens avec la mère du gamin, mais au moins il ne la détestait guère.

Nous partîmes pour le Morvan, pays de mystères et de misère. Ses collines et forêts sauvages sont fréquentées par de nombreuses fées, souvent hostiles, et son climat est fort pittoresque, alternant pluies et giboulées avant l'arrivée du verglas. Et je ne parle même pas des loups. Cette destination n'était qu'une preuve de plus de la nécessité du Chevalier Fée ! Une incitation supplémentaire du destin !

Je fus émerveillé dès notre arrivée, le village se situait dans une clairière entourée d'une dense forêt, dont l'aura féérique n'avait pas échappé aux yeux d'Amaël et aux miens. Un chêne majestueux semblait transpercer le toit de la taverne, à moins qu'elle ne fut bâtie tout autour. Ce vaste bâtiment, le plus important du  lieu, servait de salle de réunion aux habitants d'après Bernard. J'appréciais l'ambiance bucolique de ce joli hameau, à peine entachée par la présence d'un clocher, hélas habituelle. Nous allâmes gaillardement à la taverne, afin de boire un coup et de commencer notre enquête.

La première information d'importance que nous apprîmes les braves gens du cru fut l'amélioration de la bière brassée localement, assez notable depuis plusieurs mois. Une certaine émulation régnait au village entre les deux brasseries, la taverne et une ferme tenue par trois soeurs (sûrement des sorcières !). Cette rivalité permettait surtout à tous de mieux s'enivrer. Il faut toujours faire confiance à la clairvoyance des gens du peuple. C'est un principe. Aussi j'éclusais plusieurs bières, vraiment bonnes, jusqu'à ne plus y voir clair. Ce qui, à bien y réfléchir, était pour le moins paradoxal.

L'alcool rendait les gens agréables, sauf malheureusement le forestier, qui était présent à la taverne à notre arrivée. Il ne pipa que peu de mots, et se montra agressif dès que nous lui parlâmes. Il faudrait faire preuve de doigté pour manier cet imbécile. Amaël se proposa pour le surveiller. En attendant, une bonne nuit de sommeil près d'un arbre magnifique allait me faire le plus grand bien. Il était convenu que le gamin nous mènerait au petit matin voir les étranges ossements qu'il avait aperçu, inquiétant ornement pour un paysage bien paisible.

Je passais une excellent nuit, ainsi que Gregorius. Ce qui tombait bien, les mages ont besoin de repos pour renouveler la puissance de leurs esprits. Par contre, le reste du village avait eu un sommeil assez agité. Les mines étaient blafardes, comme si un démon était venu danser sur leurs lits. En fait de démon, Amaël nous appris qu'un gigantesque loup, seigneur fée de la forêt, avait convoqué l'ensemble de la population  au milieu de la nuit. Son héritier avait été tué, rompant le pacte liant les loups aux hommes. Un enfant devait être sacrifié pour rétablir l'équilibre. Amaël avait aussi été appelé. Il proposa aux loups de retrouver le responsable de ce crime odieux, et de leur livrer. Dans son infinie sagesse, le grand loup  accorda trois jours de délai.

Je félicitai Amaël. Trois jours c'était bien plus qu'il n'en fallait au Chevalier Fée pour réussir cette quête !

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Dernière édition par Makkari le Jeu 20 Aoû - 21:51, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Printemps 1222 - Sévices, Vice, Vis ! et Versa...   Printemps 1222 - Sévices, Vice, Vis ! et Versa... Icon_minitimeJeu 20 Aoû - 21:37

La première journée fut consacrée à l'étude des ossements et à l'habituelle enquête de voisinage, avec la sempiternelle question : « au fait, n'avez-vous rien vu d'étrange ces derniers temps ? » avec ses multiples variantes « Comment s'est passé le dernier hiver ? » etc... Nous rencontrâmes une bonne partie des habitants du village : l'épouse apeurée du forestier, le curé, bien entendu dépassé, le bûcheron, obtus comme une souche, ainsi qu'une veuve un peu rebouteuse qui possédait trois chats féeriques lui servant d'espions. Au moins cela sortait de l'ordinaire. Bien entendu, toutes ces rencontres ne servirent pas à grand chose. Sauf à confirmer que la bière était bonne. Bande de poivrots ! Finalement, le charabia chantonné par deux gamines dansant autour d'une poupée allait s'avérer notre meilleur indice.

L'étude des ossements fut plus intéressante. Autour du village, plusieurs animaux, dont le fils du Seigneur Loup, avaient péri dans des circonstances mystérieuses. Il ne restait de leurs corps que les squelettes, qui ne comportait aucune marque, et qui émergeait à peine de la boue. Il n'y avait aucune trace de lutte, à peine un cercle d'herbes couchées autour des ossements. Les chairs, la peau, les tendons, tout avait disparu, comme si la terre avait attrapé, suçoté puis recraché ces animaux. Il y avait de quoi être inquiet. L'explication était sans nul doute ésotérique, mais cela ne nous avançait guère.

La nuit finit par tomber. Amaël se mit en planque à l'orée des bois, et attendit la sortie nocturne du forestier. Ce dernier sortit enfin de sa maison, après une énième dispute conjugale. Il s'aventura vite dans la forêt, Amaël sur ses talons. Pendant ce temps, Grégorius et moi nous fîmes le tour du village. La nuit dernière, un Seigneur Loup avait fait une apparition. Peut-être serions-nous témoin d'une autre sorcellerie.

Notre espoir ne fut pas vain. Grégorius se rendit compte que durant la nuit, le Dominion, l'aura divine engendrée par l'église, s'affaiblissait et était recouverte par l'aura féerique de la forêt. Cela me paraissait plutôt une bonne nouvelle, mais Grégorius n'était évidemment pas d'accord. Notre conversation retourna vite aux différentes hypothèses mystiques pouvant amener à la disparition de la chair, quand une petite voix fluette nous interrompit, et nous questionna : « voulez-vous jouer avec moi ? ». La poupée autour de laquelle s'amusait les deux gamines apparut. L'étrange spirale qui formait son visage paraissait bien plus inquiétante la nuit. Le pire, c'est qu'elle n'était pas seule. Nous étions entourés par plusieurs poupées d'argile, ou plutôt des homoncules.

Nous ne cédâmes pas à la panique, je me proposai de jouer avec ces créatures sous la surveillance de Grégorius. Elles se mirent à danser autour de moi, et je sentis vite une profonde fatigue m'envahir. Je réagis rapidement en me téléportant sur un toit. Cela ne plût guère à mes partenaires, qui se tournèrent vers Grégorius. La danse recommença, les pieds des poupées foulaient l'herbe, formant le cercle mystérieux que nous avions trouvé autour des squelettes. L'évidence nous saisit : nous avions trouvé la cause des morts mystérieuses. Il nous fallait réagir avant de périr ! Nous nous défendîmes vaillamment contre ces viles créatures. Je me rendis compte durant notre combat qu'elles étaient immunisées à la magie Mentem comme Terram. Par contre, elles étaient sensibles au Vim, et quelle ne fut pas ma surprise quand je découvris qu'un sort improvisé pouvait les transformer en Pion de Vis Terram !

Quelle découverte. Du vis. Du vis ! DU VIS  !! ENFIN DU VIS !!!
DU VIIIS, DU VIS, DU VIS, DU VIIISSSE ! DU VISSE ! DU VISSE !

Un vertige m'embruma l'esprit, et je sentis un rire démoniaque monter en moi. Nous n'étions plus entouré d'homoncules belliqueux, mais d'une bonne douzaine de Pions de Vis ambulants, qui ne semblaient même pas réellement conscients, puisque sans esprit ou Mentem. Une soif de de carnage me brûlait la gorge, mais il fallait prendre des précautions. Gregorius et moi décidâmes de nous replier pour réfléchir à la situation. Ce n'était que partie remise !

Le lendemain matin, nous fîmes un point de la situation avec Amaël, rentré de son expédition d'espionnage, ainsi que Francisco et Léandre qui venaient enfin d'arriver. D'ailleurs, c'est étrange cette arrivée juste après notre découverte de Vis. Coïncidence ? Je ne pense pas ! Les mages sont toujours attirés par le Vis ! Mon Vis !

Ahem, je m'égare un peu. Amäel avait lui aussi permis une avancée significative dans notre enquête, pas comme ces parasites venus voler mon Vis. Il avait suivi le forestier en forêt, puis dans un regio féérique. Cet homme semblait attiré par une force inconnue. Surtout, il perdait petit à petit son âme en chemin : Amäel avait vu plusieurs fantômes ou émanations de lui , occupés à ses tâches courantes (chasser, récolter les collets, cueillir des champignons...). Son esprit se fragmentait sous l'effet d'un puissant sortilège, ce qui expliquait les changements dans son comportement. Il était obsédé par la forêt, comme je l'étais par le Vis. MON PRECIEUX VIS !

Il nous fallait découvrir les raisons de ces obsessions. Pour moi, c'était facile, comment ne pas craquer devant la perspective de sortir de notre misère magique ? Pour le forestier, c'était moins évident. Il nous fallait cuisiner davantage sa famille.

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Dernière édition par Makkari le Ven 21 Aoû - 23:31, édité 14 fois
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MessageSujet: Re: Printemps 1222 - Sévices, Vice, Vis ! et Versa...   Printemps 1222 - Sévices, Vice, Vis ! et Versa... Icon_minitimeVen 21 Aoû - 23:34

La deuxième journée d'enquête ne connut que quelques vicissitudes, mais pas mal de vices et sévices. DU VIS ! DU VIS !

Le groupe se sépara, le temps pressait, il nous fallait explorer les moindres pistes. Enfin, les pistes c'était surtout pour occuper les autres mages. Je m'intéressais surtout aux charmants petits pions de vis, bien plus inoffensifs le jour que la nuit. Leur étude attentive permis à Grégorius et moi de mieux appréhender le phénomène. Les poupées semblaient se rapprocher de plus en plus du village, leurs attaques semblaient à la fois régénérer la terre, comme si elle absorbait la vie des victimes, et affaiblir le Dominion. L'église semblait d'ailleurs la cible principale, nous nous rendîmes compte qu'elle était maintenant encerclée par les homoncules. Grégorius fut repéré alors qu'il récoltait ramassait les pions de Vis poupées près de l'église. Nous fûmes vite accusés de voler les porte-bonheurs du village, qui améliorait les récoltes. Je m'emportais contre les paysans qui voulaient récupérer les poupées. Le prix à payer  pour améliorer la bière était trop élevé, nous avions ainsi appris qu'un couple d'amoureux avait disparu lors d'une romantique ballade en forêt. Il ne fallait pas être un génie pour deviner leur triste destin, unis dans la mort comme dans la vie. ET SURTOUT PERSONNE NE ME PRENDRA MON VIS !

Le reste de l'équipe enquêta dans le village. Une partie retourna à la maison du forestier, coquette chaumière en bordure de forêt, sans vis-à-vis. MON VIS ! Où est MON VIS ! Le forestier devait avoir la clé de ce mystère, et cette visite prouva visiblement que nous avions visé juste (Mon Viiiiiiis !). Une étrange amulette autour du cou du forestier semblait à l'origine du charme dont il était victime. Sa femme soutenait que la rebouteuse le lui avait donné pour le soigner, ce que la dite rebouteuse niait avec fermeté. La seule solution pour résoudre cette énigme était de s'aventurer tous ensemble, avec le forestier, aux tréfonds du régio féérique afin de confronter la cause de tous nos soucis, ce mystérieux bienfaiteur venu nous donner tous ce Vis. MERCI ! MERCI !

Notre expédition franchit une à une les nombreuses couches du régio, jusqu'à arriver à une grotte au bas d'une colline. De nombreuses poupées nous accueillirent avec enthousiasme, ce qui m'émut profondément. Tout ce Vis qui n'attendait qu'une main secourable pour le secourir et qui disait : récoltez-moi, récoltez-moi ! C'était beau. Bien sûr, il y avait quelqu'un derrière ces poupées. Et ce quelqu'un, cher journal, avait un autre désir que d'enrichir des mages de passage. Qui l'eut cru ! Une sorcière s'était réfugié là, son corps difforme, mi-jeune, mi-vieille (il faudrait se décider) attestait d'une trop longue fréquentation des régios féériques. Elle devait être là depuis longtemps. La diplomatie tourna court presque immédiatement, la sorcière était bien plus qu'à moitié folle (là au moins elle s'était décidé), et dans un délire paranoïaque elle déchaîna ses immondes pouvoirs sur nous. Je n'ose continuer, cher journal, tellement la suite fut horrible. La peur me saisit encore quand je repense à ce cauchemar. La sorcière réussit à conjurer la plus grande peur d'un mage. Un homoncule géant, un véritable golem, sortit de terre pour nous attaquer. UN PION DE VIS GEANT VOULAIT NOTRE MORT ! Heureusement, nous n'étions pas des novices. DU VIS ! où est mon VIS ! Grégorius réussit à éliminer le golem tandis qu'Amaël maîtrisait la vieille. Pour une fois, j'aurais été content que Francesco réussisse à séduire la première femme trouvée sur notre chemin. Une fouille de la caverne nous apprit une grande partie de l'énigme. Des runes inconnues gravées sur les murs, du matériel de conjuration, ainsi que des poupées ressemblant aux habitants du village, tout l'attirail de la grotte semblait participer d'une antique magie, oubliée par l'ordre d'Hermès. Une poupée, plus détaillée que les autres, attira mon attention. Habillée d'une robe de bure, comme celle du curé du village, son visage nous était inconnu (ainsi que l'âge du vis, mais c'était sans importance). Je pris cette poupée, et nous remontâmes vers la réalité, bien décidé à trouver les explications qui nous manquaient.

Notre première intuition fut la bonne. Une discussion avec le curé nous mena au portrait de son prédécesseur, ressemblant comme deux pions de vis aquam à la poupée de l'inconnu, et surtout à son journal. Le reste coula de source, et fut d'une banalité à fendre l'âme.
Le précédent curé était tombé amoureux d'une jeune fille. Hélas, lors d'une cérémonie traditionnelle (et pour tout dire franchement païenne) à laquelle le curé participait pour la première fois, il fut pris de folie et commis le dernier des outrages à cette pauvre fille, qui fuit affolée. La terre entendit-elle ses appels aux secours ? Les fées voulurent-elles la protéger ? Elle dut pénétrer dans le régio mais sans pouvoir ressortir, puisque l'ancien curé ne la revit plus jamais. Nous supposâmes qu'elle resta enfermée des décennies. Elle trouva un lieu de pouvoir antique. Les rêves qu'elle y fit lui permirent de développer ses pouvoirs magiques, mais elle ne put toujours pas se libérer. Sans doute avait-elle passé sans le vouloir un pacte avec l'esprit de la forêt, qui en faisait sa prêtresse en échange de sa captivité.

Les dernières informations nous furent donnés par le forestier, une fois que je le guéris après avoir récupérer touts les fragments de son âme (vive le Rego Mentem). Il y a quelques mois, il avait pénétré accidentellement le premier niveau du régio. La sorcière s'en était rendu compte, et l'utilisa pour arriver à ses fins. Elle pris l'apparence de sa première femme, la mère de Bertrand, pour convaincre le forestier de l'aider. Elle se fit aussi passer pour la rebouteuse lorsque la femme du forestier le chercha dans la forêt, et approcha sans le savoir du régio. Les plans de la sorcière restaient confus, mais elle voulait se venger de l'ancien curé, d'où l'affaiblissement du Dominion (intéressante perspective, mais bien moins que TOUT CE VIS).

En résumé, l'ancien curé, perclus de vices, commis un terrible sévice, d'où tout ce vis !

La sorcière fut livrée au Seigneur Loup, et nous repartîmes le coeur léger et les poches alourdies par tout ce vis. Une fin heureuse pour une fois.

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MessageSujet: Re: Printemps 1222 - Sévices, Vice, Vis ! et Versa...   Printemps 1222 - Sévices, Vice, Vis ! et Versa... Icon_minitimeMer 26 Aoû - 0:03

Fin.

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MessageSujet: Re: Printemps 1222 - Sévices, Vice, Vis ! et Versa...   Printemps 1222 - Sévices, Vice, Vis ! et Versa... Icon_minitime

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