Règles

AVANTAGES & DESAVANTAGES

La liste sera complétée selon l'inspiration et le bon vouloir du meneur de jeu.


Niveaux de vie :

- Misérable (pas de revenu) : - 2
- Pauvre (100 sesterces par mois) : - 1
- Agréable (200 sesterces par mois) : 0
- Riche (500 sesterces par mois) : 1
- Ordre équestre / homo novus (2000 sesterces par mois) : 2
- Ordre sénatorial (on ne compte plus) : 3


Statut :

- Affranchi, pérégrin, mineur : - 1
- Esclave : - 2
- Esclave en fuite : - 3


Malédictions divines mineures : - 3

Les dieux ou les coïncidences sont plus communs du côté de Rème que d'Etherne...

- Malédiction d'Aphrodite : 1 chance sur 2 que votre femme tente de vous assassiner avec son amant quand vous revenez la voir ;
- Malédiction d'Apollon : tous les présages vous sont défavorables, aucun adepte des mystères n'accepte de vous aider et vous ne pouvez plus utiliser de points de fortune ;
- Malédiction d'Arès : comme la malédiction de Bellone ;
- Malédiction d'Artémis : 1 chance sur 2 d'être pris en chasse par les chiens de la déesse à chaque fois que le personnage met le pied dans une forêt ;
- Malédiction d'Asclépios : double les durées de récupération des blessures ;
- Malédiction d'Hadès : 1 chance sur 2 de se retrouver aux enfers à chaque fois que le personnage pénètre dans une grotte ou une cave ;
- Malédiction d'Héphaïtos : 1 chance sur 2 que l'objet manufacturé que vous tentez d'utiliser se brise ;
- Malédiction d'Héra : comme la malédiction de Mercure ;
- Malédiction d'Hermès : comme la malédiction d'Euphébius ;
- Malédiction de Poséïdon : comme la malédiction de Neptune ;
- Malédiction de Zeus : 1 chance sur 2 d'être foudroyé dès que votre personnage se retrouve à l'air libre, quel que soit le temps qu'il fait.


Malédictions divines majeures : - 5

Double les effets d'une malédiction mineure, la divinité vous poursuit de sa vindicte jusqu'à votre mort... ce qui prendra juste un peu plus de temps si vous ne croyez pas dans les mystères.


Philosophies :

- Aristotélicien : 0 (rationnaliste) ;
- Epicurien : - 1 (recherche du plaisir... mais avec modération et détachement !) ;
- Stoïcien : - 2 (austérité, impassibilité, austérité, courage devant l'adversité, austérité, aust... je l'ai déjà dit ?).

CONTRIBUTIONS

Toute contribution, sous quelle forme que ce soit (résumé, dessin, figurine playmobil, etc.) rapporte 1 point d'expérience.

De quel type de contribution as-tu besoin?

En fait, des résumés très courts des scéances de jeu seraient appréciés.

J'insiste : du bref, du fonctionnel, du pratique. Le but étant d'alimenter les annales, de présenter des PNJs, etc.

Notez que, moi aussi, j'adore les résumés "roleplay". En fait, si un joueur est capable de faire les deux, je lui file bien volontiers 1 point de fortune en plus du point d'expérience !

Notez que, si ça intéresse certains, de courts articles sur des éléments du background (la Gaule pour Nicolas, Sparte pour Vince, etc.) sont tout à fait négociables. A condition que ce soit synthétique !

Et tu sais de quoi tu parles.

Pour les résumés, non, effectivement !
Pour le background, ça se discute, j'essaye tout de même d'aller à l'essentiel sur mon petit site.

Tax Collector a écrit:

- Ordre sénatorial (on ne compte plus) : 3

Pour indication, un sénateur honnête (qui ne tirerait pas trop sur la corde) peut compter sur un revenu mensuel compris entre 15 000 et 20 000 sesterces. C'est énorme... mais son train de vie était fort dispendieux. Il fallait bien "aider" ses clients !

Je rappelle au passage une définition (trouvée sur Historia) bien utile pour comprendre la vie quotidienne à Rème.

Client
Plébéien attaché à un homme riche et influent, qui lui apporte une aide financière en échange de son soutien politique. Le client vient saluer son patron le matin et l'escorte dans la rue ; en échange, il reçoit chaque jour la sportule, don en nourriture ou en argent. De là vient le mot "clientélisme".

Oui, en gros le client est payé pour "faire masse" autour de son patron. L'influence était quasiment mesurée par la taille du cortège qui se déplaçait avec le sénateur, sur le forum... lequel pouvait compter des centaines d'hommes, voire quelques milliers (!). Par contre, la dignitas (disons la noblesse, pour simplifier) dépendait uniquement de l'étendue des propriétés foncières. Ouais, c'est subtil hein ? Mais c'est rigolo !

En gros, on pouvait être un patricien fort respecté par ses pairs (famille ancienne, beaucoup de terres) mais n'avoir que relativement peu d'influence politique (moyens et/ou popularité insuffisants pour maintenir une importante clientèle). L'inverse était également possible : un riche parvenu très influent mais méprisé par les patriciens.